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Roger se sent dévalorisé par les actions de Monsieur LEPETIT parce qu’il les perçoit comme une contrainte. Ces comportements, Klapisch les fait ressortir à travers l’attitude de ses personnages ; dans la scène du rayon de bricolage le vendeur doit faire face à un client qui souhaite avoir des conseils pour pouvoir procéder à l’achat un marteau, ne relevant même pas la tête pour saluer de client et lui répondre. Et pour réunir, diriger, rentabiliser, faire fonctionner tous ces gens si différents, arrive un nouveau PDG, Monsieur Lepetit. Il n’impose pas sa solution, mais sollicite chaque personne en proposant de rechercher l’osmose, l’harmonie des voix sur des notes en employant le mot « moi ». Les actionnaires de l’entreprise lui laissent un an pour rétablir la situation de l’entreprise, et lui affirment qu’à défaut de redresser la barre, ils seront contraints de procéder à la fermeture des portes du magasin, et procéder au licenciement de l’ensemble du personnel. c.        La motivation et stratégie des acteurs : Analyse de la situation de communication du film « Rien du tout ». Magalie Villechalane 13 septembre 2014 à 11:01 (CEST), http://fr.wikimediation.org/index.php?title=Riens_du_tout. Les Grandes Galeries sont au seuil de la faillite. A partir de la moitié du film on commence à voir apparaitre et se distinguer plusieurs profils Y. siècle, on embauchait des employés que l’on formait pour un poste précis, à partir de 1990, la transversalité et la polyvalence des salariés est devenu un critère d’embauche important, de plus, tous les ans, les employés sont évalués et ont la possibilité d’être formé. Lors de la première partie du film, nous suivons Monsieur Lepetit, nouveau PDG de l’entreprise lors de sa visite des différents départements du magasin, des rayons de vente jusqu’aux ressources humaines en passant par la cafeteria, les personnages rencontrés sont plus rocambolesques les uns que les autres et représentent un véritable contraste avec l’apparence du magasin, des rayons impeccablement rangés, et des employés ennuyés par leur travail qui semblent fatigués et ne pas s’intéresser aux clients qui les entourent. siècle se préoccupe du management de groupe. Pour réussir sa mission, Monsieur LEPETIT fait le choix de ne miser que sur le facteur humain de l’entreprise. C’est pourquoi on fait appel à un nouveau PDG, M. Lepetit embauché pour remonter les ventes du magasin. C’est ce que l’on peut voir dans le film avec le personnage de Véronique interprété par Coraly Zahonero, de vendeuse elle devient chef du rayon prêt à porter. Simultanément à la nomination de Monsieur LEPETIT en tant que nouveau PDG, Roger BLANCHARD est engagé pour travailler au sein des Grandes Galeries. Il prête à Monsieur LEPETIT l’intention de vouloir prendre le contrôle sur les salariés pour en faire des entités identiques. Désireux de rentabiliser au maximum son entreprise, monsieur Lepetit, le nouveau PDG du magasin «Les Grandes Galeries», décide de fonder sa stratégie sur le «facteur humain». Il rappelle alors que s’ils font partie d’une chorale c’est pour chanter ensemble « et si possible la même chose ! Il répond à Roger : « on a rien sans rien, c’est ça l’entreprise ». Analyse de la fin tragique du film Oedipe de Pasolini, Analyse comparative du film et de la nouvelle de la PDM, Analyse du film Molière de Laurent Tirard en 2007, Analyse Diagnostique Des Marchés Etrangers, Analyse Diagnostique Des Marchés étrangers Devoir 1 CNed. S’en suit un dialogue de sourd qui met en avant l’incompétence et le manque de formation du vendeur ainsi que son manque d’implication dans son travail. Bien entendu, il n'en est rien. Roger est ainsi conforté dans son analyse de la situation. GRILLE D'ANALYSE . Ce sont ces changements que Klapisch présente avec humour dans Riens du tout. Sa démarche se situe davantage dans la mise en œuvre d’une stratégie individuelle que dans la conduite d’un projet commun. Lorsque le client décide alors de quitter le magasin sans effectué d’achat, le vendeur ne sourcil pas et ne tente pas de le rattraper, perdant ainsi une vente. Il est d’autant plus intéressant d’y observer l’illustration de l’échec de l’instauration de cette qualité dans les rapports humains malgré l’intention positive d’accorder à la relation une considération particulière, ce qui rejoint les valeurs de la Médiation. Les petites passions humaines, les rivalités et les jalousies contrecarrent son plan mais n'entament en rien son inoxydable dynamisme. Né à Paris en 1961, C. Klapisch se voit obligé de quitter la capitale française à 23 ans pour aller étudier le cinéma à New-York car on lui reproche un manque de gout pour le cinéma français de l’époque (1980). Douglas Mac Gregor, Analyste du 20ème siècle se préoccupe du management de groupe. Il ne s’implique d’ailleurs pas directement puisqu’il ne participe pas aux activités qu’il organise pour les salariés. Désireux de rentabiliser au maximum son entreprise, monsieur Lepetit, le nouveau PDG du magasin «Les Grandes Galeries», décide de fonder sa stratégie sur le «facteur humain». Il souhaite instaurer dans les rapports des salariés entre eux la cohésion, qui constitue sa solution aux problèmes économiques rencontrés par l’entreprise. Riens du tout se présente comme une comédie satirique sur l’univers des grands magasins et sur les méthodes modernes de management. siècle, se met en place un nouveau fonctionnement de management, d’un management individualiste on passe à un management collectif. Selon Douglas Mac Gregor le management participatif est plus adapté à la nature humaine, il permet la possibilité pour l’encadrement d’innover, de nouveaux moyens d’organisation et de diriger l’effort humain. Face à la stratégie mise en œuvre par Monsieur LEPETIT, Roger reste dans l’incompréhension, et s’installe dans un climat de méfiance à son égard, et de défiance à l’égard des salariés qui se soumettent à sa stratégie. Monsieur LEPETIT est nommé en qualité de nouveau Président Directeur Général du magasin « Les Grandes Galeries » qui se trouve au bord de la faillite. Le tournage s'est déroulé au Viaduc de la Souleuvre (scène du saut à l'élastique), à Valence dans la Drôme, de décembre 1991 à janvier 1992, où tous les intérieurs du grand magasin (l'actuel centre Victor-Hugo, les anciennes Aux Dames de France) ont été reconstitués [1] et à Paris : Il se pose en chef d’orchestre de la mise en pratique d’une solution qu’il a construit seul. Il lui prête une intention malveillante à son égard, et le juge comme un destructeur. A partir de la moitié du film on commence à voir apparaitre et se distinguer plusieurs profils Y. Dans le film, une trentaine de personnages sont présents, malgré la présence de Fabrice Luchini dans le rôle de Monsieur Lepetit, pourtant seul acteur connu du grand public, la multitude de personnages secondaire présents parviennent à bousculer les hiérarchies, et prennent toute la place à l’écran pour le bonheur du public qui peut facilement s’identifier à eux. Chacun trouve dans l’action du groupe l’intérêt qui le motive à apporter sa contribution : l’harmonie de la chanson. On voit apparaitre dans les grandes entreprises les départements des ressources humaines. Ici, on aime l'esprit critique. Émergence du conflit : analyse de la relation Monsieur LEPETIT – Roger BLANCHARD: Il réalise son premier court métrage en 1984, et en 1992. est son premier long métrage. Le magasin parisien « Les grandes galeries » est au bord de la faillite, si rien n’est fait pour redresser l’établissement, celui-ci sera vendu l’année suivante, et les salariés seront licenciés. De plus, la chorale qui au début du film est présentée comme une activité démodé dans l’entreprise est relancée pour que chacun des employés puisse avoir un rôle complémentaire aux autres pour former une harmonie. Il annonce qu’il veut « réunir, fédérer, associer, rassembler toutes les énergies de tout le personnel, une stratégie globale contre l’éparpillement, l’émiettement, la division, en un mot la dispersion  ». Désireux de rentabiliser au maximum son entreprise M. Lepetit, le nouveau P.D.G. Point de vue du Médiateur: Nous allons d’abord présenter le contexte dans lequel le film se situe puis nous allons analyser la situation de communication à travers le message les acteurs de la situation et leurs rôles ainsi que leurs motivations et leur stratégie. Il réalise son premier court métrage en 1984, et en 1992, Rien du tout est son premier long métrage. Riens du tout traite de la vie d'un grand magasin parisien qui n’est plus assez rentable : les Grandes Galeries. Mais, malgré l’interprétation de Fabrice Luchini, très en verve, Lepetit n’est pas la caricature du manager moderne, cynique, manipulateur, méprisant : c’est un jeune patron dynamique qui croit réellement pouvoir harmoniser les facteurs humains et économiques, … Bien accueilli par le publique, le film fait parler de lui et les avis de presse sont bons. Il ne communique que sur le canal qui lui est propre, et ne perçoit pas l’absence de réception de son message par Roger qui ne possède pas le même système de traitement de l’information. L’idée nouvelle de ces nouvelles méthodes de communication au sein des entreprises est que des employés qui aiment leur travail et s’y sentent bien feront alors sans doute mieux leur job. Résumé: Le management dans les années 90, II   L’analyse de la situation de communication, b.        Les acteurs de la situation de communication. Afin que chacun se connaisse et prenne en main ses responsabilités, il fait appel aux nouvelles techniques de management et met au point une série d'activités - saut à l'élastique, bivouac, expression corporelle - susceptibles de remotiver son personnel. Ce sont ces changements que Klapisch présente avec humour dans. Les premiers essais de chant montre que chacun essaie de chanter plus fort que l’autre, ce qui a pour effet de créer une disharmonie qui va à l’encontre de l’objectif poursuivi. ». Sous l’apparence d’une comédie humoristique, c’est une sorte de caméra caché du monde du travail, face à ses évolutions et ses changements, économiques, sociaux, ses crises, comme on le voit rarement au cinéma. Il distingue deux conceptions de l’homme au travail qu’il nomme X et Y. L’homme X n’aime pas travailler, il évite le travail et a besoin d’être dirigé, on parle alors de management autoritaire, c’est ce que l’on voit au début du film. Conclusion : Pourtant, et malgré les efforts mis en œuvre par Monsieur LEPETIT dans la poursuite de son objectif, (organisation de stages de formation, activités de groupe telles que saut à l’élastique, participation au Marathon de Paris), sa démarche va provoquer des réactions inattendues : méfiance, jalousies, rébellion. un directeur général d’entreprise et ses difficultés face à ses employés. La chorale représente parfaitement le résultat poursuivi par Monsieur LEPETIT alors même qu’il n’a pas pris part à ce projet. Né à Paris en 1961, C. Klapisch se voit obligé de quitter la capitale française à 23 ans pour aller étudier le cinéma à New-York car on lui reproche un manque de gout pour le cinéma français de l’époque (1980). Le salarié Chef de Chœur de la chorale fait partie intégrante du groupe. Pour la réalisation de son film Klapisch a passé plusieurs mois dans des grands magasins avant d’en écrire le scénario qu’il voulait au plus proche de la réalité, on y retrouve les vendeurs de rayons, les caissières au sourire forcé, le délégué syndical, les chefs de rayon, le père noël intérimaire. Lorsqu’il demande au groupe ce qu’il a envie de chanter, aucun salarié n’exprime le même souhait. Le paradoxe de cette idée parfaitement sympathique est qu'elle est malgré tout imposée aux gens, qui n'ont pas forcément envie d'être artificiellement enthousiasmés par l'idée d'aller travailler»''. Le film constitue un riche outil pour le Médiateur car il permet une réflexion sur les obstacles de la communication, les différences de perception et de traitement de l’information chez les personnes, l’importance de la définition d’un objectif commun dans un groupe et celle de l’instauration de règles de dialogues indispensables à la conduite d’un projet. Ces émotions ressenties par Roger vont le conduire à développer des mécanismes de défense, et il va s’installer dans un rapport de force avec Monsieur LEPETIT : alors que Monsieur LEPETIT veut redorer l’image du magasin, il tague « grandes galères » sur la façade du magasin, il parodie ses actions et trompe les salariés en transformant la journée de fête du centenaire du magasin en carnaval, il exige le silence total durant une minute dans le magasin quant Monsieur LEPETIT fait augmenter le volume de la musique pour faire grimper les ventes. Cette réflexion en adversité adoptée par Monsieur LEPETIT le conduit à ne percevoir comme solution au conflit qui l’oppose à Roger que l’exclusion de ce dernier. Analyse de la situation de communication du film « Rien du tout » Nous allons d’abord présenter le contexte dans lequel le film se situe puis nous allons analyser la situation de communication à travers le message les acteurs de la situation et leurs rôles ainsi que leurs motivations et leur stratégie. Le nouveau PDG de l’entreprise, Mr Lepetit, pour redresser l’économie du magasin et relancer les ventes décide de changer de méthodes de management, l’image du magasin et l’augmentation des ventes vont devenir ses priorités, au détriment du personnel auquel il va donner l’impression d’avoir de l’importance au sein de l’entreprise pour tenter de les impliquer davantage dans leur travail. « RIENS DU TOUT » de Cédric Klapisch. Par Marie-Amélie Drieu  •  8 Décembre 2017  •  Dissertation  •  2 210 Mots (9 Pages)  •  1 257 Vues, DOBIGNY Audrey  DRIEU Marie-Amélie  FERREIRA Romain, b. "On trouve tout" dans un grand magasin : des choses, toutes sortes de choses, mais aussi des gens, toutes sortes de gens. Monsieur LEPETIT est indéniablement animé de bonnes intentions. Faute d’avoir pris soin d’instaurer des règles de communication, il ne peut éviter l’installation des obstacles à la qualité relationnelle. Il a un an pour faire ses preuves. Uniquement disponible sur LaDissertation.com, Analyse du film Incendies de Denis Villeneuve, Analyse Du Film Publicitaire De Renault « Changeons De Vie. Le réalisateur dénonce le mode opératoire de ce management en présentant l’idée que la théorie de l’appartenance à un groupe diffusée auprès du salarié n’a pas nécessairement pour effet de le valoriser dans son travail lorsque cette solution lui est imposée. Contexte : C’est ce que l’on peut voir dans le film avec le personnage de Véronique interprété par Coraly Zahonero, de vendeuse elle devient chef du rayon prêt à porter. La scène finale du film est le chant de la chorale de l’entreprise. S’enchainent alors une succession de scènes du même style tout au long de la visite du magasin montrant dans chaque rayon l’inefficacité et le manque d’intérêt du personnel pour leurs postes. Ce film présente un intérêt particulier pour le Médiateur en ce qu’il aborde le sujet de la conduite du projet collectif en entreprise par la valorisation de la qualité relationnelle entre ses salariés. A l'Ouest rien de nouveau, fiche de lecture du film. Illustration du projet commun : la chorale Découvrez toutes les formules d'abonnement à Télérama. Dans le film, une trentaine de personnages sont présents, malgré la présence de Fabrice Luchini dans le rôle de Monsieur Lepetit, pourtant seul acteur connu du grand public, la multitude de personnages secondaire présents parviennent à bousculer les hiérarchies, et prennent toute la place à l’écran pour le bonheur du public qui peut facilement s’identifier à eux. Quand Monsieur LEPETIT lui demande ce que l’entreprise éveille en lui, il rétorque « c’est surtout que ça va me réveiller à 7 heures tous les matins ! ». Le Chef de Chœur demande aux salariés de ne pas chanter chacun dans son coin, de chanter moins fort, mais de s’écouter. du magasin, décide de fonder sa stratégie sur le facteur humain. La complexité des modalités de transmission d’un message ne sont pas intégrées dans la démarche de Monsieur LEPETIT. Cette scène illustre la conduite d’un projet commun jusqu’à sa concrétisation par l’atteinte d’un objectif clairement défini. La posture adoptée par Monsieur LEPETIT l’empêche de percevoir une quelconque légitimité du point de vue exprimé par Roger. Chacun reste perché sur son point de vue, et la rupture de la relation est inévitable. L’homme Y est capable de s’autodiriger, on constate de sa part une meilleure implication dans son travail, on parle alors de management participatif. L'histoire de Riens du Tout est rassemblée autour d'un grand magasin : les Grandes Galeries. Votre abonnement CANAL vous permet de bénéficier des contenus Télérama réservés aux abonnés. Pour la réalisation de son film Klapisch a passé plusieurs mois dans des grands magasins avant d’en écrire le scénario qu’il voulait au plus proche de la réalité, on y retrouve les vendeurs de rayons, les caissières au sourire forcé, le délégué syndical, les chefs de rayon, le père noël intérimaire. Seule la fin justifie les moyens qu’il met en œuvre. Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. C’est l’expression de chacun qui constitue l’expression du groupe et non l’inverse. Riens du Tout est un film des années 90 dans lequel Cédric Klapisch illustre l’émergence de la prise en considération du rapport humain dans l’entreprise : le développement du management « collaboratif » visant la performance par l’amélioration des conditions de travail des salariés. Ainsi, il exprime une demande qui ne porte pas sur un objectif commun, mais sur un résultat dont il se détache, sans mesurer la dynamique contraignante de cette posture. Il distingue deux conceptions de l’homme au travail qu’il nomme X et Y. L’homme X n’aime pas travailler, il évite le travail et a besoin d’être dirigé, on parle alors de management autoritaire, c’est ce que l’on voit au début du film. Il s'agirait ici d'une intelligente critique sociale et philosophique. Dans la deuxième partie du film, Mr Lepetit lance un nouveau programme de management avec de nouvelles méthodes pour essayer de rendre ses employés plus professionnels tout en tissant des liens au sein des équipes de travail. La réflexion se porte sur la maladresse de Monsieur LEPETIT. Il ne s’en détache pas, il reste à son service et y joue un rôle déterminant pour assurer sa cohésion.Deux passages du film montrent le salarié Chef de Chœur qui pose des règles de communication. Monsieur LEPETIT et Roger BLANCHARD vont finalement être amenés à créer une nouvelle relation dans le film puisque le premier découvrira que le second est le nouvel ami de sa fille. A la fin du 20ème siècle, se met en place un nouveau fonctionnement de management, d’un management individualiste on passe à un management collectif. De son côté Monsieur LEPETIT raisonne davantage de manière analogique, et affiche la dimension affective de sa vision de l’entreprise. Dernière modification de cette page le 13 septembre 2014 à 14:54. Bien accueilli par le publique, le film fait parler de lui et les avis de presse sont bons. En impliquant chacun pour former le tout, par la valorisation de la contribution, et non par la contrainte, il aborde son projet par la démarche inverse de celle de Monsieur LEPETIT et parvient à atteindre son objectif. Chaque salarié, y compris Roger, chante « Moi je suis moi et toi t’es toi, y a pas que toi qui peut dire moi y a moi aussi… ». La scène se situe au début du film. Dans les années 90 on voit le management se développent, avec de nouveaux auteurs et de nouvelles méthodes. Il est alors intéressant d’observer que sorti du contexte professionnel et du lien hiérarchique dans lequel ils se sont opposés, une nouvelle communication va s’instaurer, chacun parvenant à écouter l’autre. La chorale met en évidence l’expression dans un groupe de chacun des individus dans la poursuite d’un objectif commun. Film français de 1992 réalisé par Cédric Klapisch, avec Fabrice Luchini (Monsieur LEPETIT), Pierre-Olivier Mornas (Roger Blanchard), Coraly Zahonero (Véronique)…. Analyse de la démarche de Monsieur LEPETIT: Vous êtes connecté avec votre compte CANAL. Riens du tout est le premier film de Cédric Klapisch, grand spécialiste du film-choral. Sous l’apparence d’une comédie humoristique, c’est une sorte de caméra caché du monde du travail, face à ses évolutions et ses changements, économiques, sociaux, ses crises, comme on le voit rarement au cinéma. L’homme Y est capable de s’autodiriger, on constate de sa part une meilleure implication dans son travail, on parle alors de management participatif. Au début du 20ème siècle, on embauchait des employés que l’on formait pour un poste précis, à partir de 1990, la transversalité et la polyvalence des salariés est devenu un critère d’embauche important, de plus, tous les ans, les employés sont évalués et ont la possibilité d’être formé. Klapisch met en scène dans Riens du tout un directeur général d’entreprise et ses difficultés face à ses employés. Sont alors réalisés des exercices de confiance, des cours de sourire pour les vendeurs et vendeuses du magasin, du saut à l’élastique, et une « nuit feu de camp » pour les chefs et directeurs de département. Changeons L'automobile », Analyse du film Shining de Stanley Kubrick, Analyse film: Le Voyage De Chihiro de Miyazaki, Critique et analyse philosophique du film Inception de Christopher Nolan, Analyse du film Boulevard De La Mort de Quentin Tarantino, Cours: Analyse Du Film Halloween de John Carpenter, Analyse D'éléments Des Films De Stanley Kubrick, Analyse film: Le Triomphe De La Volonté De Leni Riefenstahl. Il adopte une réflexion en adversité, et reçoit de manière personnelle les actions de Roger qu’il interprète comme un affront. Selon Douglas Mac Gregor le management participatif est plus adapté à la nature humaine, il permet la possibilité pour l’encadrement d’innover, de nouveaux moyens d’organisation et de diriger l’effort humain. Roger affiche un fonctionnement plutôt rationnel : lorsque Monsieur LEPETIT intervient durant son entretien d’embauche et l’interroge sur ce qui le motive à venir travailler aux Grandes Galeries, il répond que c’est le prix de son loyer. Riens du Tout est un film des années 90 dans lequel Cédric Klapisch illustre l’émergence de la prise en considération du rapport humain dans l’entreprise : le développement du management « collaboratif » visant la performance par l’amélioration des conditions de travail des salariés.

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